La thèse de la transmission du virus par l’air que chacun expire et inspire, plutôt que par les seules grosses gouttelettes expulsées par l’éternuement et la toux, était initialement négligée par les autorités sanitaires du globe, avant un revirement opéré cet été en raison de la pression de nombreux experts des virus respiratoires et une accumulation d’études sur la présence de particules virales dans des micro-gouttelettes en suspension dans l’air, éjectées par la simple parole.

  • Pour en savoir plus :