En octobre 2021, j'ai averti notre maire par mail sur le piteux état du mur de soutènement situé en face mon domicile en précisant que « certaines pierres tenaient par enchantement » ( ce que l'on voit clairement sur la photo ci-dessous ) :



Pour savoir ce que notre maire aurait dû faire :

Rien n'a été fait et l'enchantement a fini par se rompre ce mardi 30/04/2024 en début d'après-midi ... par chance sans occasionner d'accident ( mon petit chien l'a échappé belle ! ). Dès que j'ai découvert l'effondrement, j'ai procédé à son balisage et Frédéric a envoyé à 16 h un mail à la mairie avec des photos de l'effondrement, dont celle ci-dessous :



Ce mail a été ouvert à 16:03 ... et aucune réaction de la mairie, pas même un petit merci :-(

Au moment où ce billet est posté toujours pas d'intervention de la mairie !

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ADDITIF DU 02/05 - 18 h

Dans l'après-midi la mairie est intervenue :

👉 pour déplacer quelques pierres :

Avant l'intervention :


Après l'intervention de la mairie :


ce qui a eu pour effet de diminuer l'empiètement sur la chaussée :


mais pourquoi n'avoir pas enlevé toutes les pierres tombées pour dégager complètement la chaussée ?

👉 poser de part et d'autre de l'effondrement des panneaux " Attention Travaux " afin de sécuriser davantage la circulation des véhicules :-) :



Espérons que le dégagement complet de la chaussée et la sécurisation du talus interviendront rapidement ... d'autant que plusieurs grosses pierres qui ont été reposées en hauteur ( pourquoi ? ) ne demandent qu'à glisser à nouveau sur la chaussée :-(

Les interrogations ci-dessus le sont en toute humilité de la part d'un ingénieur ETP, par ailleurs expert judiciaire admis à l'honorariat ( pour environ 300 expertises judiciaires dans le domaine du BTP en 30 ans ( 1982 - 2012 ) de collaboration avec le service de la Justice ).

ADDITIF DU 16/05 - 18 h

Il aura fallu 2 semaines pour que mon « humble avis » ci-dessus soit enfin entendu :



et après environ 1/2 heure de travail voici le résultat :-)



Pour parfaire cette intervention il serait, me semble-t-il, opportun de " gratter " le haut du talus pour adoucir son profil comme dans la partie après l'effondrement, en allant vers le plan d'eau. ( voir les photo 2 et 5 ci-dessus ).

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ADDITIF DU 28/05 - 12 h 30

Yves GOUTTEGATAS vient de me faire remarquer que ce n'est pas à la demande directe de notre maire si, avec son fils et Michel MARRET, ils sont intervenus le 16/05 pour enlever les pierres.

En fait, c'est la propriétaire du terrain qui a contacté Michel MARRET par téléphone, suite à une lettre de mise en demeure reçue de notre maire !

RECTIFICATIF DU 20/06

Notre maire n'a pas du tout apprécié l'expression « lettre de mise en demeure » que j'ai utilisé dans l'additif ci-dessus et plutôt que de me demander un droit de réponse il a préféré m'adresser un mail qui ne pouvait provoquer de ma part qu'une demande de rendez-vous ( demande faites dès la réception du dit mail ), et il m'a reçu cet après-midi dans son bureau à la mairie.

Comme disent les diplomates, « la réunion fut franche et cordiale » et a largement débordé du cadre du mur effondré.

Pour ce qui concerne le dit mur, notre maire m'a lu la lettre qu'il a adressé à la propriétaire et dans laquelle il lui a « demandé de remédier, très rapidement, à la situation actuelle sinon il serait contraint de faire intervenir une entreprise de son choix et de lui adresser la facture correspondante ».

Chacun peut qualifier à sa façon la dite demande, mais l'expression « mise en demeure » ne figure pas dans ce que m'a lu notre maire. La publication de cette formulation est donc la conséquence d'un regrettable malentendu.

Dont acte :

Dans l'additif du 28/05 ci-dessus, l'expression « mise en demeure » doit être considérée comme nulle et non avenue.